"Un bébé, une petite fille, des mannequins… En trois temps, le film s’éloigne d’une narration linéaire ou logique, et impose une ambiance onirique, parfois angoissante, qui prend une place dominante. Le cinéma d’Aguilar est «un cinéma qui regarde, qui invite le spectateur à regarder, et qui laisse place à plusieurs points de vue et à plusieurs interprétations."